Tard le soir un orage estival

Apporte un peu de fraicheur extrinsèque

Elle se glisse hors les murs

L’eau de pluie habille son corps découvert

Tandis que la nuit la protège et entame

La lutte contre l’utile lumière

De la barque lunaire

Remplie de démons aztèques

 

« T’as vu le ciel ? dit-elle

Mais aucun démon ne lui répond

 

Est-ce la démangeaison du scorpion

Qui la sortira du sortilège

Ou devra-t-elle attendre

 

L’éclipse ?

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