Bon, assez ruminé. Retournons au quotidien - autant que possible, vu que ma meilleure moitié est partie en stage à Paris. Je retrouve plus ou moins mes habitudes de célibataire: j'alterne les pâtes et les nouilles et dimanche je vais sans doute opter pour des spaghetti.

En fait, j'aurais voulu vous offrir un grand grand reportage sur le Festival de cinéma français qui vient de se terminer aujourd'hui même, avec critiques, photos de stars et tout et tout, mais la semaine a été assez laborieuse, encore hier j'ai du réaliser un semblant de site pour une collègue qui est aussi artiste peintre et qui va exposer la semaine prochaine (d'où l'urgence). Donc j'ai tout juste eu le temps d'aller voir "L'empire des loups" - hum, pas terrible, distrayant, puis après ça devient, comme toujours avec Grangé, du n'importe quoi n'importe comment n'importe où. Si j'avais eu le temps, je serais allé voir "36 quai des Orfèvres", ou "L'équipier" ou "Les mots bleus" ou d'autres trucs inconnus au bataillon comme "Zaïna, cavalière de l'Atlas". Des stars, d'ailleurs, il n'y en avait presque pas cette fois-ci, sauf Judith Godrèche, pas vraiment mon actrice favorite (je tente de rester poli). Alors que l'année dernière, il y avait quand-même Romain Duris, Elsa Zylberstein et surtout Antoine de Caunes.

Cette année, les séances spéciales se sont déroulées pour la plupart, tenez-vous bien, en présence de l'exportateur. L'exportateur?! Qu'est-ce qu'on en a à braire? Franchement...

Donc, je n'ai rien à vous mettre sous la dent à part cette photo de qualité discutable qui montre a) que j'étais bien là, b) que le Festival a bien eu lieu dans un pays hispanophone, c) qu'on a collé les affiches un peu n'importe comment et d) qu'on jurerait que Gérard Jugnot joue bien dans "Il ne faut jurer de rien".

ah, quel glamour! on s'y croirait! 

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