L’espace est clos sécurisé arbitraire D’une chambre à l’autre elle tangue Rondeurs de chair face aux murs rectangulaires Elle lisse sa liseuse Et de son corps réinvente Courbet Et c’est tout Il ne lui reste plus Que la caresse de l’air...
jazz envolées lyriques dysharmonyques qui me chatouillent m'émoustillent là où il faut rythmes qui s’escamotent les uns les autres les uns qui se chevauchent se déhanchent en attendant ça vient ça vient un solo de saxo soprano seul...